La pop a toujours aimé les machines, et Andromakers cajole la nostalgie des mélodies éthérées et des refrains écervelés qui s’échappaient des synthés à l’époque des 45 tours. Nadège Teri et Lucille Hochet jonglent avec des héritages et des références imprévisibles, comme une encyclopédie des bonheurs acidulés.