De l’electro pour les rockeurs ou du rock pour les clubbers, Elektrash
[makes me sick] ne choisit pas et recrache après digestion numérique les
morceaux les plus assassins des quarante dernières années : Obscure face b
punk ou tube electro planétaire.
Quand ils ne secouent pas les habitudes des nuits grand-ducales (Pulp Club,
Elevator, Peche Mignon), les quatre membres de ce collectif de vrais faux
DJs embrasent leur cité ardente à l’occasion des soirées elektro’n’roll
crânement intitulées « Suck My Dick Rivers » (Soundstation).
David Bowie aurait dit d’eux : « Ils sont au Deejaying ce que les films
pornos bulgares sont au cinéma ».